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Sommeil au volant : conseils pour l’éviter

Colpi di sonno alla guida: i consigli su come prevenirli

La fatigue au volant est l’une des principales causes d’accidents de la route. La fatigue peut parfois jouer des tours aux conducteurs, qui doivent savoir quand et comment prévenir les situations dangereuses pour eux-mêmes et les autres usagers de la route. Voici un certain nombre de conseils pour éviter la somnolence au volant.

Dormez autant que nécessaire avant de conduire. Selon les données de l’ACI antérieures à 2020, mais qui peuvent logiquement rester valables aujourd’hui, dormir moins de 5 heures par jour multiplie par 4,5 les risques de provoquer un accident de la route, tandis que ne pas dormir pendant 24 heures conduit à commettre des erreurs au volant comme si l’on était ivre, avec un taux d’alcoolémie d’un gramme par litre de sang. Il est clair qu’il est essentiel de dormir plus de 5 heures par nuit avant de conduire et d’être bien reposé avant d’entreprendre un long voyage en voiture.

Évitez de conduire seul sur de longues distances. Le degré de somnolence est fortement influencé par le niveau de stimulation de l’environnement. Conduire seul, peut-être sur de longs tronçons d’autoroute, constitue une condition monotone qui peut favoriser l’apparition de la somnolence. C’est pourquoi il est important d’essayer, dans la mesure du possible, d’aborder les longs trajets en compagnie et de ne pas passer trop d’heures au volant sans faire de pauses régulières.

Évitez de conduire pendant la nuit. La nuit est le moment de la journée où l’on est le moins alerte et le plus fatigué. La conduite de nuit, surtout si l’on opte pour le « smart start » à l’aube, nécessite une formation, notamment parce que dans l’obscurité, le biorythme naturel de chacun a tendance à générer de la somnolence. C’est pourquoi il est préférable de privilégier les heures de jour dans la mesure du possible. Après tout, il vaut mieux faire la queue quelques fois de plus que de prendre des risques inutiles.

Arrêtez immédiatement en cas de somnolence. Parfois, lorsque vous conduisez et que vous vous sentez somnolent, il suffit de s’arrêter sur une aire de repos et de se reposer ne serait-ce que 20 minutes, puis de reprendre la route. Ainsi, au premier signe d’éveil, il est important de rechercher la première zone de service.

Adopter des astuces pour combattre la somnolence juste pour atteindre une aire de service. Musique forte, vitres baissées, chewing-gum à volonté – sont-ils vraiment utiles ? En réalité, ce sont des palliatifs qui ne servent qu’à gagner du temps. Peuvent-ils être utilisés ? Bien sûr que oui, mais seulement pour pouvoir atteindre en toute tranquillité une aire de repos où vous pourrez ensuite vous arrêter aussi longtemps que nécessaire.

Attention à la nourriture et à l’alcool. L’une des principales causes de somnolence au volant est le fait d’avoir trop mangé et de monter dans la voiture immédiatement après. Avant et pendant le voyage, il est nécessaire de rester léger, car la somnolence s’accompagne aussi de difficultés digestives, en préférant les petites collations et en buvant beaucoup d’eau fraîche. La qualité de la conduite, en fait, commence à la table. En ce qui concerne l’alcool, cela semble évident à dire, mais il est essentiel de s’en passer avant de prendre la voiture, et si vous partez le matin, il serait bon de ne pas dépasser déjà la veille. En outre, il est important de souligner que la consommation de café peut augmenter le seuil de vigilance, mais que ses bénéfices sont limités dans le temps. Il en va de même pour les boissons énergisantes.

Attention aux drogues. Même des médicaments courants comme les antihistaminiques ou les anxiolytiques peuvent induire une somnolence. Avant de partir pour un long voyage, il est important de vérifier que les médicaments que vous prenez ne provoquent pas de somnolence ou de consulter votre médecin pour en être sûr.

Achetez un dispositif anti-sommeil. La sécurité à l’arrière est offerte par ces dispositifs de plus en plus courants qui augmentent la sécurité de la conduite en alertant le conducteur en cas de fatigue et de somnolence soudaine. Il en existe différents types, par exemple, sur certaines voitures de milieu et de haut de gamme, des détecteurs de fatigue qui lisent les bandes de signalisation ; mais il existe aussi des brassards, capables d’émettre un son gênant et un flash via un smartphone, ou encore des écouteurs et des réflexomètres.